Le pitch : Les membres du projet Manhattan font copain-copain avec leur homologues russes et affrontent de bien loufoques maîtres du monde.
L’avis : J’ai beaucoup apprécié la mise en branle de cette série et le tome 2 ne déçoit pas, même si, de façon assez surprenante, Jonathan Hickman ne rebondit pas sur les derniers évènements du tome précédent. On verra ce qu’Einstein nous réserve plus tard. Pour les reste, c’est du même acabit : un récit loufoque, intelligemment écrit, habité par des personnages hauts en couleur. C’est un peu du grand n’importe quoi, mais du genre jubilatoire, alors on ne va pas se plaindre. Côté dessin, l’impression de raideur que j’ai pu avoir en première lecture a complètement disparu, et ce ne sont pourtant pas les scènes d’action qui manquent. Nick Pitarra a fini de me convaincre. Le dernier épisode, qui introduit la guerre interne s’opérant au sein de la psyché d’Oppenheimer, est particulièrement réussit. Conclusion : j’en redemande.